Saturday, October 13, 2018

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Tuesday, October 9, 2018

Lettre à un ami -2-

Cher ami,
permettez-moi de partager avec vous quelques réflexions.

Quelle que soit notre situation, nous continuons d’apprendre, d’évoluer, de grandir. Ce processus est sans fin. Même si nous sommes en quête d’éveil, ce processus se poursuit. Et même si l’on vit l’expérience de Samâdhi, ou encore plus rare, cette même expérience en continu, l’apprentissage n’est pas terminé. L’univers nous lance des invitations, il nous présente des occasions d’apprendre.
Ainsi, nous restons humbles. Il demeure nécessaire de songer à notre conduite. Chaque atome de notre existence doit devenir conscient. Nous ne sommes jamais exempts de réfléchir, voire de corriger notre attitude. Même les plus grands maîtres observent leur vie en se demandant si certaines choses doivent être améliorées.
De nos jours, le bouddhisme est très populaire. Toutefois, le Bouddha n’aimait pas les femmes. Si vous observez de près les structures bouddhistes, cela apparaîtra clairement.
J’aime à penser que l’éveil résulte d’une évolution. Les êtres éveillés s’inspirent de leurs prédécesseurs. Par conséquent, l’éveil lui aussi devient plus raffiné et plus intelligent. Il ne se répète pas simplement. Il évolue et grandit !
On a le choix de remonter dans le passé et de reproduire une spiritualité à l’ancienne qui s’est avérée limitée et archaïque. On a également le choix de déclencher une révolution aujourd’hui même en accueillant à bras ouverts la spiritualité de l’avenir, une spiritualité qui prend appui sur toute notre intelligence.
L’intelligence ne se borne pas au mental. Elle agit à de nombreux niveaux, dans de nombreuses dimensions. Il y a l’intelligence émotionnelle, psychologique et sexuelle. Il y a également l’intelligence artistique et psychique. Il existe de nombreuses manières de développer notre intelligence qui dépassent notre entendement. Le film Lucy, avec Scarlett Johansson et Morgan Freeman, explore cette thématique fascinante.
Quant à moi, je choisis une spiritualité permettant le développement de toute mon intelligence latente. Je ne saurais me satisfaire de moins. Tel est mon choix.
Nous avons tous le choix. Nous pouvons devenir des bodhisattvas du XXIe siècle et créer un style qui nous est PERSONNEL, en nous appuyant sur l’intelligence la plus grande et la plus rayonnante qui soit. Nous pouvons courir le risque d’être nous-mêmes. Nous pouvons créer une nouvelle attitude sur cette planète, une nouvelle spiritualité. Ou alors, nous pouvons nous contenter de reproduire le passé. Toutes les religions et spiritualités du passé n’ont pas créé un monde meilleur ni plus paisible. C’est à nous qu’il revient de nous tourner vers une intelligence, une harmonie et une compassion plus grandes.
Il est temps d’adopter une nouvelle approche, de s’engager sur un nouveau chemin. Nous pouvons faire ce choix aujourd’hui. Maintenant.

Monday, October 8, 2018

Samadhi

Le méditant avait 20 ans et suivait un entraînement avec un Yogi du nom de Mahindra. Un jour, après avoir pratiqué pendant deux heures des asanas et despranayamas, il se mit à méditer.
Au bout de quelques minutes, l'envie lui vint de visualiser la flamme d'une bougie au-dessus de sa tête. N'ayant jamais été très doué pour la visualisation, il fut surpris quand il vit apparaître la flamme de la bougie comme pour de vrai, après seulement une minute de visualisation.
Puis il entendit une voix qui disait : " Maintenant, plonge au cœur de la flamme." Il s'exécuta. Les événements qui s'ensuivirent le bouleversèrent.
D'abord, il sentit une pression au sommet de son crâne, qui augmenta jusqu'à ce qu'il ait la sensation distincte qu'il s'agissait d'une coquille d'oeuf se fissurant. Puis la pression augmenta encore jusqu'à devenir douloureuse.
La douleur continua de s'intensifier jusqu'à ce qu'elle semble atteindre un point de masse critique. Soudain, cette douleur disparut complètement et laissa place à ce qui paraissait être... un Espace clair.
Cet Espace clair continua de s'élargir très rapidement. Aucun adjectif ne saurait le caractériser. Il était... simplement... immobile... Rien ne bougeait...
Cet Espace clair poursuivit son expansion. Entre-temps, il lui sembla que chaque cellule de son corps commençait à être inondée d'électricité, électricité qui était si forte qu'elle en était difficilement supportable.
Cette électricité continua de s'amplifier... L'espace clair poursuivit encore et encore son expansion... jusqu'à sembler... infini...
Durant tout ce temps, son corps était resté en posture méditative. Puis il tomba sur le côté, car le corps avait beaucoup de mal à tolérer l'électricité qui semblait presque l'électrocuter...

Sw. Anand Karunesh

Les obstacles sur le chemin

De même que vous pouvez recevoir de la part de puissants êtres lumineux des initiations et transmissions pouvant vous élever et vous rapprocher de l’illumination, il existe la possibilité de recevoir des transmissions et des injections psychiques de la part de nos ombres, de Dark Vador et ses associés.
Néanmoins, nos ombres peuvent être tellement subtiles qu’il est possible de ne pas avoir conscience qu’un élément toxique a été injecté en nous, qui peut retarder, voire arrêter notre Éveil véritable et notre fusion avec Dieu.
La matrice nous alors a pris au piège, conformément à sa mission. Et ce à notre insu.
Par conséquent, il est nécessaire de cultiver une lucidité et une clarté aussi fines qu’un laser.
Assidûment et incessamment, il nous est demandé d’être conscient, et d’observer et d’identifier chaque mouvement mental et émotionnel pour ne pas être victime de toxicités ralentissant notre évolution.
Aussi, faisons quelque chose de révolutionnaire : développons une clarté toujours plus grande.
Les derniers mots prononcés de son vivant par le Bouddha ont été : « chare veti », c’est-à-dire : « Ne vous arrêtez pas avant d’avoir atteint l’Éveil complet. »
Que cela soit notre priorité absolue.
Rentrons chez nous.
Karunesh

Saturday, June 30, 2018

Apologie de la beauté

J’adore mon boulot ! Car il crée la beauté. Vous qui êtes Français devriez apprécier cela. Et je dois bien reconnaître que sur cette planète, il y a très peu de nations, de groupes qui semblent apprécier autant la beauté que vous. Bravo à vous !
C’est magnifique. Sur cette planète, de ce que j’ai pu voir, il n’y a nulle part autant de beauté que quand on se promène dans Paris. La beauté y est omniprésente, si on la cherche. Vous honorez la beauté et vous y consacrez beaucoup d’argent. Rodin, c’est un vrai choc ! On pourrait croire que je suis amoureux des Français. Peut-être bien ! Mais il y a certaines choses qu’il faut quand même mettre de côté. Car vous pouvez être incroyablement têtus ! Mais les personnes qui ont créé la ville de Paris ne peuvent être que de belles personnes.
Il existe en sanscrit un mantra « Satyam Shivam Sundaram » qui se traduit par : « la source de l’existence est beauté et vérité totale ». Quand on suit sa joie, on ne peut se tromper ; quand on suit la beauté, on ne peut se tromper. Suivez la beauté !
Tout ce que je vous expose a pour but de vous montrer comment transformer votre vie. Observez chaque pensée. Je vous l’accorde, cela demande du travail. Observez les pensées toxiques et remplacez-les par les pensées opposées. Méditez !
La méditation est la grande révolution/révélation de votre existence. Exprimez la beauté autant que possible. L’une des raisons pour laquelle nous souffrons sur cette planète, et il y en a beaucoup, est que nous ne pratiquons pas la gratitude. Personnellement, je m’entraîne, à chaque fois que je vois quelqu’un ou quelque chose de beau, à répéter mentalement « merci ». Ce qui se passe est très étonnant. Lorsque vous pratiquez cela, vous vous apercevez qu’il y a beaucoup à remercier, tellement la vie est belle. Mon sentiment est qu’en remerciant, on attire davantage de situations suscitant la gratitude. C’est fou !
Pratiquez la gratitude. Par ailleurs, nous ne disons pas non plus assez « je t’aime ». Mais je vous le dis : dites « je t’aime » dès que l’opportunité s’en présente. Chaque lecteur a maintenant ses devoirs à faire. Avec compassion et douceur, je vous ordonne de le faire !
Pascal a écrit : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas. » C’est une autre manière de dire qu’il faut suivre son ressenti. Car nous ne l’écoutons pas assez. C’est un symptôme de notre maladie, de notre paralysie. Qu’il est bon d’exprimer ce que l’on a sur le cœur ! Si vous avez envie de dire « je t’aime », mais que vous vous abstenez, quelle tristesse !
Devenez radicalement positif en exprimant la beauté radicale dans vos paroles et dans vos actes. Achetez un sandwich, un repas à quelqu’un qui en a besoin. Peut-être lisez-vous ce passage sur un banc, dans la rue. Si tel est le cas et si vous avez une boulangerie près de vous, pourquoi ne pas y entrer, y acheter pour 10 € de nourriture et la donner au prochain indigent que vous rencontrez ? Quel bel acte ce serait ! La compassion et la générosité sont la beauté en action. Créez cela dans le monde.
Pourquoi sommes-nous sur cette planète ? Pour y apporter la beauté. Si quelqu’un souffre, nous pouvons aider cette personne à moins souffrir.
Autre chose que vous pouvez donner à cette planète : lorsque vous conversez, comprenez la catégorie de votre communication. Je passe autant que possible mes pensées à travers un quintuple tamis : est-ce que ce que je veux dire est vrai ? Est-ce utile ? Est-ce inspirant ? Est-ce nécessaire ? Est-ce bienveillant ? Si ce que vous dites ne satisfait pas à ces cinq conditions, c’est le signe que votre communication est toxique. Vous apprêtez-vous à envoyer un sms toxique ? Si c’est le cas, arrêtez ! Arrêtez de juger, parce que votre jugement ne créera qu’une chose.
Lorsque vous jugez autrui, l’univers s’en souvient : lui aussi vous jugera et vous demandera de rendre des comptes. L’univers enregistre le moindre acte de malveillance, qui vous revient un jour. Faites à autrui ce que vous voudriez que l’on vous fasse. Comment ne pas être d’accord avec cela ? Reconnaissez que vous jugez, prenez conscience de cette toxicité et arrêtez. Transformez cela en positivité, en beauté. Comment ne pas être d’accord avec ce genre d’invitation ? Merci de m’accompagner dans cette lecture. Que vous me croyiez ou non, je vous aime.

Inspirer la béatitude

Dans les niveaux plus profonds de la méditation, la nature et le rythme de la respiration changent. À mesure que le silence s’approfondit, la respiration ralentit et peu à peu se transforme, et le méditant a le sentiment d’inspirer la béatitude à l’état liquide. Le ralentissement de la respiration est notable et peut continuer jusqu’à son arrêt total ; toutefois, le corps ne meurt pas, tout l’organisme du méditant s’est miraculeusement ouvert à l’énergie cosmique qui l’entoure et l’imprègne et qui, désormais, nourrit directement le corps sans besoin de respirer.
Les astrophysiciens ont à leur niveau découvert ce champ d’énergie cosmique dans lequel nous baignons. Ils l’ont baptisé « champ quantique ». De plus, ils ont également découvert qu’1 cm³ de ce champ contient suffisamment d’énergie électromagnétique pour satisfaire tous les besoins en électricité de notre planète pendant un jour. Les anciens yogis ont, quant à eux, découvert ce champ il y a bien longtemps et sont allés au fond des choses en y accédant directement, c’est à dire en rentrant en état de Samâdhi. Quelle surprise de voir que l’astrophysicien et le yogi, quand ils poussent leurs explorations jusqu’au bout, aboutissent aux mêmes conclusions !
Comme je le disais auparavant, les premiers cosmologues étaient des yogis, c’est à dire des méditants avancés, évolués. Quand on commence à méditer et que nos méditations portent leurs fruits, on éprouve un sentiment de soulagement, on se sent libéré d’un poids, on se sent léger, on se sent en paix, c’est une excellente nouvelle ! N’est-ce pas cela que vous recherchez ? Vous aimeriez ressentir dans chaque atome de votre corps que vous êtes comblé. Sachez que la méditation, lorsqu’elle porte ses fruits, crée cela en vous. Il existe de nombreux niveaux de méditation et lorsque vous arrivez dans les dimensions élevées de la méditation, vous êtes vraiment ébahis. En Inde, il existe un terme : « Dvija », qui signifie « né deux fois » ou « rené ». La première naissance, bien entendu, est la naissance physique. On pense que cela s’arrête là, mais en réalité, ce n’est qu’une opportunité, qu’une porte qui s’ouvre.
Je considère, à titre personnel, que c’est une véritable tragédie existentielle d’avancer dans la vie sans jamais se poser la question, de réfléchir et de découvrir notre potentiel et de simplement être dans la gratitude vis-à-vis du fait que l’on peut inspirer et expirer sans se poser de questions marquantes, fortes, existentielles comme : « Qu’est-ce que je veux vraiment ? », « Qui suis-je vraiment ? », « A quoi sert la vie ? » À partir du moment où vous vous posez ces questions, les changements viennent.
La deuxième naissance, après la naissance physique, est l’éveil de la conscience quand elle s’ouvre comme une fleur. Lorsque vous regardez une graine à l’état brut, rien ne vous laisse penser qu’elle deviendra une fleur et surtout quelle apparence aura cette fleur. Le fossé qui sépare la graine de son état abouti, c’est-à-dire la fleur, est colossal quand on y réfléchit. Et c’est exactement notre position. Nous sommes un potentiel, nous sommes une graine et lorsque cette graine pousse en nous, des choses incroyables se dévoilent. Lorsque la graine est plantée dans une terre fertile, elle commence à germer. À votre avis, à quoi pense-t-elle à ce moment-là ? Elle se dit : « Au secours ! » Parce que c’est une forme de mort. Lorsque le germe sort, il y a quelque chose de profondément différent, c’est un vrai choc. En méditation, c’est pareil. C’est une bonne nouvelle.

Au cœur de la souffrance


Pourquoi le Bouddha a-t-il dit que la vie est souffrance ? Une des raisons à cela est que nous n’explorons pas notre incroyable potentiel, dont nous ignorons tout. Nous ne comprenons pas ni la nature de l’univers ni les lois qui le régissent. Faute d’explorer ses lois, nous ne les connaissons pas et par conséquent, nous souffrons quand nous les enfreignons.
L’une de ces lois universelles est que nous sommes tous reliés, d’où la loi de causalité : quoi que vous fassiez à autrui, cela vous reviendra. C’est pour cela qu’un sage a un jour dit : « Quoi que vous vouliez recevoir dans votre vie, donnez-le. » Nous ignorons tout du fonctionnement de l’univers. Nous ignorons tout de la nature de la lumière et de la matière. Et une fois que nous commençons à avoir un aperçu de la réalité sous-jacente de tout ce qui est, notre perception se modifie radicalement et devient véritablement éclairée. Alors, on s’aperçoit que l’on est en profond désaccord avec la perception d’autrui.
À partir du moment où une profondeur existentielle naît en vous, le commun des mortels vous traite de fou. Mais chose merveilleuse, la pratique de la méditation crée une grande profondeur en vous et une grande clarté dans votre conscience. Il y a un livre qui s’intitule L’Insoutenable légèreté de l’être. Pour faire un parallèle, on pourrait parler de « l’insoutenable clarté de la méditation ».
Comme je l’ai déjà évoqué, une grande partie de mon éducation s’est déroulée en Inde, dans l’ashram d’Osho, entre 1976 et 1981, soit cinq années passées presque exclusivement à méditer. Un jour, en 1978, voici ce qui m’est arrivé. J’avais dû déjà méditer cinq, six, voire sept heures ce jour-là. Comprenez que l’ashram d’Osho était une école des mystères et que comme certains vont à l’université pour étudier, j’allais quant à moi à l’université de la méditation.
Donc, un soir, après la dernière méditation de la journée, ma perception de mon environnement a tout d’un coup changé. Tout a commencé à reluire, à briller ; absolument tout semblait imprégné d’un grand rayonnement joyeux. Il n’y avait rien qui n’était pas pénétré par cette luminosité extraordinaire. Qui plus est, à mesure que cette ouverture s’agrandissait, j’ai commencé à prendre conscience que tout ce que je voyais n’était qu’un jeu de lumière, avec différentes fréquences lumineuses qui s’imbriquaient.
Pour la première fois, j’ai vu que ce que l’on considère comme de la matière solide, à savoir les arbres, les voitures, etc., n’était à la base que de la lumière qui avait ralenti sa fréquence. Et en décélérant, la fréquence en question prenait une forme différente. Que pensez-vous de cette perception de l’univers ? J’ai donc pris conscience que toute expression de la matière solide n’était qu’une fréquence lumineuse et que donc, si l’on pouvait l’altérer, on pouvait influencer son expression matérielle.
Étonnamment, les astrophysiciens en arrivent à la même conclusion et ce qu’ils disent aujourd’hui a déjà été dit, il y a des milliers d’années, par des yogis ! Par des méditants qui avaient vécu les mêmes expériences, parce qu’en méditation, leur conscience s’était élargie à un tel point qu’ils avaient pu entrevoir le fonctionnement de l’univers. J’ai pris conscience, ce jour-là, que la matière était lumière. Cela vous rappelle-t-il quelque chose ?
Dans sa célèbre formule, Albert Einstein a dit, en résumé : « matière = énergie et énergie=matière ». Quand une fréquence lumineuse décélère, elle se solidifie. C’est un point capital. Lorsque l’énergie, ou la lumière, ralentit, elle devient matière solidifiée. Songez au phénomène suivant : quand un ventilateur tourne lentement, on peut voir ses pales, alors que quand il tourne vite, on ne les voit plus.
La matière était donc lumière et la lumière était matière. J’ai vu cela grâce à la méditation et tout mon être s’en est émerveillé. Je n’éprouvais aucune envie de partager ce moment, mais j’étais surtout dans l’incapacité de communiquer ce que je voyais et toutes les différences qui existaient. Malgré ces différences, tout était intimement lié et ce lien entre toute la matière ne pouvait être perçu que grâce à un regard ouvert par la méditation. Si vous découvrez ce genre d’expérience, peut-être pensez-vous que c’est de la folie ou que j’étais sous LSD.
Mais prenez le temps de faire des recherches. Vous verrez ainsi que les grands yogis disent des choses très similaires. Et si certains me disent que je me prends pour ces gens-là, je leur répondrai qu’effectivement, je fais peut-être partie de cette catégorie-là, car la méditation ouvre votre regard, votre perception et vous voyez les choses telles qu’elles sont vraiment.